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Je prends soin de mon mental !

Mon mental, dit aussi l’ego est très utile pour planifier, organiser, analyser, apprendre des séquences intellectuelles, lire, parler, etc. Nous avons un don que seul l’être humain a : la capacité de voyager dans l’espace-temps grâce à notre mental. Penser au passé, se projeter dans le futur. Les animaux n’ont pas ce cortex préfrontal développé. Ils ne sont dès lors que dans le moment présent.

Je mets mon mental à mon service !

Un mental qui rumine se sent en insécurité. Il est donc important de ne pas le rejeter, d’apprendre à mettre le focus sur ce qui fonctionne dans ma vie. Me concentrer sur ce qui a fonctionné dans le passé et ensuite orienter mon énergie vers mes désirs. Avec douceur et bienveillance, j’accompagne mon mental à se sécuriser. Du mieux que je peux, je prends conscience de ses besoins pour pouvoir y répondre.

Les corps mental, physique et émotionnel sont bien sûr intimement liés et imbriqués. Il est important de prendre soin de nos trois alliés.

Le premier besoin du corps mental est de se sentir unique. « Je suis », j’affirme mon individualité telle qu’elle est, non pas celle qui est conditionnée, qui répond aux attentes de l’entourage. La conséquence d’un manque d’affirmation de ma singularité mène tout droit à une crise, qui peut s’exprimer plus ou moins violemment en fonction du degré du manque d’affirmation. Les premiers symptômes seront de la frustration, de l’anxiété, de l’impuissance et de la colère.

Le deuxième besoin est de créer de la vérité. Comment te sens tu lorsqu’on te ment ? Lorsque tu te mens à toi-même et aux autres, il y a une baisse de l’estime de soi et un mal-être interne qui se construit en fonction du degré de mensonge. Lorsque tu parles à partir de ta blessure, tu te suradaptes, tout te va, tu es dans ta blessure du féminin (l’énergie féminine). Ou alors tu cherches à convaincre l’autre, tu es très orgueilleux, braqué sur ton point de vue, centré sur toi, tu es dans ta blessure du masculin. Apprendre les lois universelles nous permet de comprendre comment sortir de ces blessures, an appliquant des principes mathématiques.

La vérité demande plusieurs composantes. Il s’agit d’être vrai, authentique, aligné entre ce que tu penses, ce que tu dis et ce que tu fais. En outre, elle comporte la notion de responsabilité et de désir de se respecter et de respecter l’autre. Il ne s’agit pas on plus de balancer ta vérité à l’autre en attendant d’être compris sans prendre en compte des émotions de l’humain que tu as en face de toi.

La Vérité s’exprime avec le cœur. Si tu exprimes une vérité à partir de ton ego, tu te crées de l’injustice avec toi et puis avec les autres. C’est une piste très intéressante pour apaiser la blessure d’injustice. « Est-ce que je peux m’autoriser à être juste avec moi ? M’exprimer tel que je suis et tel que je me sens ? »

Le troisième besoin, directement lié aux autres, est le respect. Comment te sens tu lorsque tu te manques de respect ? ou que tu laisses l’autre te manquer de respect ? Pas au mieux de ta puissance j’imagine… Est-ce que tu te respectes ? Est-ce que tu prends soin de toi ? de tes besoins ? Quelle est ton estime pour toi ? Commence par te poser ces questions si tu sens que l’on te manque fréquemment de respect. Les autres ne sont là que pour nous montrer la relation que l’on a avec nous-même…

Le quatrième besoin est la guidance, se sentir au service de la vie, être utile aux autres. Le problème est lorsque cela s’exprime à partir de la blessure, de l’orgueil, du besoin de reconnaissance, et que cela est donc un acte plutôt égoïste que dans le but de servir. Il est en effet assez irritant de recevoir des conseils que l’on n’a pas demandé. Surtout en couple quand monsieur essaye de trouver des solutions à madame qui n’a besoin que d’une écoute attentive pour parvenir elle-même à ses propres solutions. La véritable guidance est de conseiller quelqu’un qui nous sollicite, sans attente qu’il fasse ce qu’on lui propose.

Un problème au niveau de ce besoin peut nuire au besoin d’appartenance. Encore une fois il est important ici d’avoir assez confiance en soi pour passer à travers la peur d’être rejeté et se reconnaitre suffisamment pour ne pas dépendre de la reconnaissance des autres. Paradoxalement, dès lors que l’on passe à travers ces peurs, on s’attire de l’acceptation et de la reconnaissance, puisque le monde extérieur est à 100% le reflet de notre monde intérieur.

Le cinquième besoin se situe au niveau du lâcher prise. Mais qu’est-ce que le lâcher prise ? Cela n’a rien avoir avec le fait de tout accepter, ou de laisser aller. Le lâcher prise peut se faire dans un corps qui se sent en sécurité, fort, puissant, ancré (dans sa puissance masculine). Ce qui permet d’accepter que nous co-créons en permanence avec la vie (puissance de l’énergie féminine) et que nous pouvons accepter qu’il y a plein de choses que nous ne contrôlons pas. Par exemple, les réactions de l’autre, les blessures de l’autres, les désirs et décisions des autres, la météo, un embouteillage, … Le lâcher-prise requiert beaucoup de force interne ! C’est notre capacité à déterminer un objectif, faire du mieux que je peux pour l’obtenir (énergie masculine) et lâcher ce qui ne m’appartient pas (énergie féminine). « Quoi qu’il arrive, peu importe le résultat, je décide d’être heureux ».

La blessure qui empêche de lâcher prie est d’être dans le contrôle, ce qui amène beaucoup de frustrations et de colère.

Le sixième besoin est de ressentir de la sécurité, encore une fois il est directement lié aux autres besoins. La véritable sécurité n’a rien avoir avec des biens matériels, c’est la tranquillité d’esprit, de savoir que quoi qu’il arrive, il n’y a pas de danger.

A partir de cette sécurité je peux me connecter à mes objectifs avec du désir et non en partant du manque. L’univers nous répond de manière vibratoire. Dès lors que je lui parle en terme de manque, il m’enverra encore moins ce que je veux, ou alors je l’obtiendrai, mais en me sentant encore plus frustré. Créer de la sécurité est indispensable pour être sereine, accompagner le corps physique à être le plus détendu possible et ressentir des émotions de qualité pour me connecter à ma mission de vie.

Le septième besoin est la mission de vie, ma raison d’être, ce qui me donne envie de me lever le matin ! Je pense que nous avons tous la même mission… c’est de se rappeler de la grandeur de cœur et d’âme que nous sommes tous. Répondre aux besoins de mon corps mental me permet d’engager vers cet objectif.

S’il y a un besoin auquel je ne réponds pas, je ressens directement une baisse d’énergie. Si je décide de ne pas le voir, mon corps va développer des symptômes et puis de la destruction et une maladie.  (le mal a dit).

Au contraire, une vie harmonieuse prend appui sur ma capacité à prendre soin de ces besoins.

Je me rappelle aussi que mon corps mental, mon corps physique et mon corps émotionnels sont directement en lien les uns avec les autres.

Décide aujourd’hui de t’élever ! Décide d’être heureux ! Décide pour toi et pour tes proches. Tu n’as plus de temps à perdre dans une posture de victime. Prends ta responsabilité.

Dans la joie de t’y accompagner avec force et douceur.

Christel

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